La chapelle des Templiers

Cette chapelle de la commune d’Aragnouet dans les Hautes-Pyrénées est située au carrefour des montées vers le tunnel transfrontalier de Bielsa et vers la station de ski de Piau-Engaly

Aragnouet, Chapelle des Templiers

Aragnouet, Chapelle des Templiers (Mars 2014)

Aragnouet, Chapelle des Templiers

« Cette chapelle romane était accompagnée par « un hôpital » qui servait de refuge aux pèlerins avant le franchissement du col pour passer en Espagne. Cet ancien hôpital aujourd’hui détruit se trouvait accolé à la chapelle. Il était desservi par les hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem. Le clocher-mur à quatre baies semble en être le seul vestige.
La chapelle a été classée au titre des Monuments Historiques en 1939, le clocher mur en 1952. l’ensemble a été classé à L’UNESCO au titre des Chemins de Saint Jacques de Compostelle en 1998. » (Source, panneau d’information sur le site)

Le pont du Diable

Après le pont Valentré et celui de la Madeleine, voici un autre qui selon la légende serait encore l’oeuvre du Diable. Il est situé à la fin des gorges de l’Hérault près de Saint-Guilhem-le-Désert.

Hérault, Pont-du-Diable

Le pont du Diable à Aniane, Hérault   (juin 2008)

Vieux de plus de mille ans et construit par les moines bénédictins, c’est un des plus anciens ponts romans de France. Ce pont doit son nom à une ancienne légende qui prétendait que le diable, déguisé en bouc noir, venait défaire chaque nuit ce que les moines construisaient durant la journée. Pour pouvoir achever l’ouvrage, Saint Guilhem passa un accord avec Satan qui s’engageait à terminer le pont en contre-partie de l’âme de la première créature qui passerait dessus. Lorsque la construction fut achevée, Guilhem sortit un os de sa poche et le lança de l’autre côté du pont. Le chien qui se tenait à ses côtés traversa le premier le pont. Dupé et dépité, le Diable se jeta dans les eaux de l’Hérault et y creusa le gouffre noir.