Tromsø

Après notre visite au phare de Tranøy, nous reprenons la route européenne E6 qui monte jusqu’au Cap Nord. A nos yeux, à part pouvoir dire « nous y sommes allés » le Cap Nord représente peu d’intérêt touristique. Donc, à 500 km de cet endroit mythique de la Norvège, nous avons préféré bifurquer à l’Ouest pour visiter Tromsø, la dernière grande ville du Nord.

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Vue générale de Tromsø, à l’arrière plan l’archipel de Kvaløy&
assemblage de 2 photos  (mai 2006)

Tromsø est situé sur une petite île reliée par deux ponts au continent et à l’archipel montagneux de Kvaløy qui protège la ville des tempêtes du grand large.

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Le pont d’accès à l’île de Tromsø,  à droite, la cathédrale arctique

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Tromsø, vue arrière de la cathédrale arctique

Cette église protestante, appelée « cathédrale arctique », a été construite en 1965 par Jan Inge Hovig. La couverture en béton est constituée de 11 plans triangulaires reliés par des parties vitrées. Elle est sensée symboliser la mer et les glaces, certains y voient un iceberg.

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Tromsø, la cathédrale arctique

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Tromsø, intérieur de la cathédrale arctique, vitrail du « Retour du Christ »

L’intérieur, très sobre, abrite un vitrail monumental de 23 m de haut. Il est l’oeuvre de victor Sparre et représente le « Retour du Christ ».
Tromsø aura donc été le point le plus septentrional de notre voyage en Norvège, nous allons maintenant revenir vers le sud, via l’archipel des Vesterålen et des Lofoten.

Le phare de Tranøy

A 250 km au nord du cercle polaire arctique, nous bifurquons à l’ouest pour aller voir Tranøy sur l’île Hamarøy « la perle de la Norvège du Nord » selon le Guide Bleu.

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Tranøy avec au large les Vesterålen  (mai 2006)

Près de ce lieu fréquenté par les artistes peintres, l’épicerie du village ou travailla le futur écrivain Knut Hamsun a été transformée en galerie d’art. Elle abrite une exposition permanente de gravures de Karl Erik Harr qui illustrent quelques oeuvres de l’écrivain.

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Le phare de Tranøy

Au bout d’un chemin de terre nous découvrons le phare de Tranøy dans un site peu fréquenté par les touristes mais prisé par les artistes peintres et les écrivains. Une passerelle piéton relie l’ilôt du phare à la terre ferme.

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Le phare de Tranøy, au large les montagnes des Lofoten et des Vesterålen

Le cercle polaire arctique

Après avoir visité Ålesund nous poursuivrons notre route vers le nord de la Norvège, pour atteindre trois jours plus tard et huit cent kilomètres plus loin le cercle polaire arctique.

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Le port de plaisance de Vestnes  (mai 2006)

Après avoir passé la nuit au port de plaisance de Vestnes nous prenons le ferry pour Molde puis nous montons vers Trondheim via la fameuse « route de l’Atlantique ». Une route qui, sur sept kilomètres, joue à saute mouton sur un chapelet d’îlots.

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La route de l’Atlantique au milieu de la mer  (assemblage de 2 photos)

Nous visiterons Trondheim et Mosjøen sous la grisaille et la pluie, heureusement que nous sommes dans la bande étroite de la Norvège, où il y a peu d’itinéraires possibles. Nous reverrons ces deux sites touristiques dans de meilleures conditions lors de notre retour vers le sud.

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Cabanes de pêcheurs à Aresvikfjorden près d’Otnes

Après une petite pause, près des cabanes de pêcheurs qui pour une fois n’ont pas toutes reçu la traditionnelle peinture rouge, nous atteignons le 25 mai le cercle polaire arctique dans une région désertique. Seul le centre avec son architecture particulière et quelques stèles marquent ce lieu géographique.

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Centre du cercle Arctique – Polarsirkelsenteret 66° 33″ N Altitude: 680m

Au niveau de cette latitude, au solstice d’été, le soleil reste au-dessus de l’horizon pendant vingt-quatre heures consécutives. Plus on montera vers le nord, plus on bénéficiera de journées où l’on pourra observer le soleil de minuit.

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Pose photo près d’une des stèles du cercle Arctique  (mai 2006)