La chapelle Saint-They

Près de la Pointe du Van, la chapelle Saint-They surplombe la falaise et le raz de Sein. La légende veut que la cloche sonnait d’elle-même pour avertir les barques en danger de se mettre sous la protection du Saint.

29 Cléden-cap-Sizun, Chapelle Saint-They

Cléden-Cap-Sizun, La chapelle Saint-They à l’arrière plan la pointe du Raz

29 Cléden-cap-Sizun, Chapelle Saint-They

Cléden-Cap-Sizun, La chapelle Saint-They – Juin 2014

Le pont du Diable

Après le pont Valentré et celui de la Madeleine, voici un autre qui selon la légende serait encore l’oeuvre du Diable. Il est situé à la fin des gorges de l’Hérault près de Saint-Guilhem-le-Désert.

Hérault, Pont-du-Diable

Le pont du Diable à Aniane, Hérault   (juin 2008)

Vieux de plus de mille ans et construit par les moines bénédictins, c’est un des plus anciens ponts romans de France. Ce pont doit son nom à une ancienne légende qui prétendait que le diable, déguisé en bouc noir, venait défaire chaque nuit ce que les moines construisaient durant la journée. Pour pouvoir achever l’ouvrage, Saint Guilhem passa un accord avec Satan qui s’engageait à terminer le pont en contre-partie de l’âme de la première créature qui passerait dessus. Lorsque la construction fut achevée, Guilhem sortit un os de sa poche et le lança de l’autre côté du pont. Le chien qui se tenait à ses côtés traversa le premier le pont. Dupé et dépité, le Diable se jeta dans les eaux de l’Hérault et y creusa le gouffre noir.

Le pavillon de la Ménara

Véritable oasis aux portes de Marrakech avec ses oliviers et ses palmiers, la Ménara est surtout connu pour son pavillon saadien. Ce pavillon servait, paraît-il, pour les rencontres romantiques des Sultans. Une légende raconte que le Sultan Moulay Ismail noyait ses conquêtes dans le bassin après les avoir séduites.

Marrakech-Menara

Le pavillon Saadien de la Ménara, en arrière-plan, les montagnes de l’Atlas.

Un vaste jardin de plus de cents hectares, planté d’oliviers, entoure un bassin qui sert de réservoir pour l’irrigation des arbres. Ce bassin est alimenté grâce à un système hydraulique, vieux de plus de 700 ans, qui achemine l’eau depuis les montagnes de l’Atlas situées à une trentaine de kilomètres.

Marrakech-Menara

Marrakech, le pavillon Saadien de la Ménara  (novembre 2006)